Paroles de sagesse, la sagesse de Dieu
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Le malheureux, l'indigent, l'homme intelligent et l'esprit curieux, quand ils ont accompli des actes de piété, commencent en général, s'ils ne l'ont déjà fait, d'adorer le Seigneur. Les autres, dont l'existence est une suite de méfaits, ne peuvent, quelle que soit leur position, approcher l'Être Suprême, car l'énergie illusoire les fourvoie. Or, lorsque le malheur survient, l'homme pieux n'a pas d'autre choix que de prendre refuge auprès du Seigneur, car garder constamment en son esprit la pensée du Seigneur, c'est marcher sur la voie de la libération des naissances et des morts répétées. Pour celui qui a développé cette attitude, les malheurs disparaissent.

En vérité ils sont bienvenus, puisqu'ils lui permettent de cultiver le souvenir du Seigneur, c'est-à-dire d'échapper à l'existence matérielle. Quiconque a pris refuge auprès du Seigneur plutôt que des grandes autorités en matière spirituelle, peut obtenir la libération sans plus de mal que s'il franchissait d'un bond l'eau contenue dans l'empreinte laissée sur le sol par le sabot d'un veau. Celui-là est appelé à vivre dans le royaume du Seigneur, et n'a pas sa place dans l'univers matériel, où de nouveaux dangers nous guettent à chaque pas. Le cosmos matériel est un lieu de dangers, jonché d'embûches et source de constantes souffrances.

S'abandonner à Dieu et prendre refuge en Lui, s'est mettre un terme à tout cela.


Logos 379

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Quel que soit le corps dans lequel elle réside, l'âme spirituelle est la même.

En tant que purs esprits, toutes les âmes spirituelles sont égales et identiques, qu'elles résident dans un corps d'être céleste, dans un corps d'être humain, dans un corps d'animal ou dans un corps de végétal.

C'est pourquoi ceux qui sont véritablement éclairés ne voient pas l'apparence extérieure de l'être vivant, le corps de matière, qu'il s'agisse d'un être céleste, d'un habitant des planètes édéniques, paradisiaques, d'un être humain, d'un animal ou d'un végétal. Ceux qui sont éclairés du pur savoir divin, ne voient plus le corps de matière au teint blanc, noir, jaune, rouge, métis, ou la forme matériel animale ou végétale, mais uniquement l'entité spirituelle qui s'y trouve. Dès lors ils éprouvent à l'égard de tous les êtres humains sans exception, un égal amour. Ils vont plus loin encore, car dans tous les corps d'animaux et de végétaux ils ne voient aussi que l'âme spirituelle qui s'y trouve, et ne font pas non plus de différence entre un être humain, un homme ou une femme, un chien, un chat, un éléphant, ou une fourmi, ils les aiment tous d'un égal amour. A travers l'enveloppe matérielle, ils ne voient que l'entité spirituelle incarnée qui y réside.

C'est cela aimer vraiment. Voilà pourquoi Dieu commande de ne pas manger de viande, de poisson et d'œuf.

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