La tolérance signifie qu’il faut endurer le malheur et la constance implique la conquête de la langue et des organes génitaux.
La plus haute charité consiste à abandonner la verge (pour ne pas punir les autres), et à renoncer à la concupiscence, on pense à la pénitence.
On est un héros quand on surmonte sa propension à jouir matériellement, et on a un sens de la réalité quand on voit l’Unique, le Seigneur, également présent.
Ensuite, la vérité se trouve dans les paroles véritables et agréables proclamées par les sages.
On parle de propreté quand on se détache de l’exécution d’un travail productif (les actes doivent être accomplis sans attachement ni attente de récompense), et en cas de renoncement (on parle de renoncement lorsqu’on renonce totalement aux fruits de l’acte dans l’accomplissement de son devoir. C’est le renoncement total à toute vie familiale et sociale, mais aussi le détachement de toutes choses de ce monde, le désintérêt à l’égard des plaisirs des sens, le rejet des objets qui suscitent le plaisir des sens et tout naturellement le rejet du matérialisme. C’est l’ordre du saint ermite).
La religiosité constitue pour les êtres humains la richesse désirable, et Moi-même, le très fortuné, la Personne Suprême, Je suis le sacrifice.
La récompense spirituelle suit une sage instruction, et le contrôle de sa respiration constitue la force suprême.
L’opulence est ma nature divine, le gain est ma bénédiction, ma miséricorde, l’éducation est l’annulation de la division du soi, et la modestie dans le sens de la honte, sont le dégoût de l’action impropre ou péché.
La beauté signifie être de bonnes qualités comme être détaché des désirs matériels et autres.
Le bonheur signifie transcender à la fois le bonheur matériel et la détresse.
Le malheur est de s’appuyer sur le bonheur physique de la luxure.
Une personne sage est quelqu’un qui peut faire la différence entre la libération et l’esclavage.
Un fou est quelqu’un qui s’identifie au corps et ainsi de suite (au mental etc.,).
Le bon chemin est celui qui mène à Moi, le mauvais chemin doit être compris comme étant celui qui conduit à un mental déconcerté, et le paradis implique la prédominance du mode de la bonté.
L’enfer est la domination du mode de l’ignorance, le véritable ami est le maître spirituel que Je suis, et le corps humain est notre maison.