Questions et réponses spirituelles parfaites
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karma lui occasionne des souffrances et au lieu de se tourner vers Dieu pour alléger ses douleurs, l'âme recherche des solutions matérielles, qui malheureusement entraînent d'autres réactions karmiques, et donc d'autres souffrances.

Comment mettre un terme à nos souffrances ?

Pour stopper tout ce processus, il suffit de s'abandonner à Krishna, Dieu, la Personne Suprême, de l'aimer, de faire sa divine volonté, de vivre selon son enseignement et de le servir avec amour et dévotion. Tous ceux qui agissent ainsi vivent dans la paix, la protection du Seigneur, et connaissent un bonheur ineffable.

Seul le service d'amour et de dévotion offert à Dieu peut mettre un terme aux souffrances, au karma, épurer l'être incarné, et lui permettre d'approcher la Personne Suprême.

Le Seigneur Krishna dit à cet effet : Ce n'est que par le service de dévotion, et seulement ainsi, que l'on peut Me connaître tel que Je suis. Et l'être qui, par une telle dévotion devient pleinement conscient de Ma Personne, peut alors entrer dans Mon royaume absolu.

Est-ce par la souffrance ressentie et subie que l'on efface les actes coupables commis dans notre vie passée ?

La souffrance est utile et nécessaire.

Dieu avait dit : Que tu te laves avec du nitre, ou que tu emploies beaucoup de potasse, ton iniquité restera marquée devant Moi.

En vérité, nos pensées, nos paroles et nos actes entraînent des effets qui provoquent des conséquences, bonnes ou mauvaises, selon la nature de notre mental et de notre cœur.

En vérité, nos pensées, nos paroles et nos actes engendrent des effets qui provoquent des conséquences, bonnes ou mauvaises, selon la nature de notre mental et de notre cœur. Ce sont les actes commis dans le passé voire la vie antérieure d'un être, qui déterminent les conditions de sa prochaine naissance ou réincarnation.

Les souffrances liées aux actes coupables ont une double origine : Les actes eux-mêmes, mais aussi ceux commis lors des vies précédentes.

L'origine des actes coupables se trouve être le plus souvent l'ignorance. Mais le fait d'ignorer qu'un acte est coupable ne permet pas pour autant d'éviter, si on le commet, ses conséquences indésirables, qui donnent lieu à d'autres actes coupables.

On distingue d'autre part deux sortes de fautes : celles qui sont pour ainsi dire « parvenues à maturité », et celles qui ne le sont pas encore. Par « fautes parvenues à maturité », il faut comprendre celles dont nous subissons actuellement les

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