Enseignement et paroles sublimes de Krishna, Dieu, la Personne Suprême
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La seconde tranche de la vie est celle de la vie familiale, de la vie conjugale, qui permet de jouir de manière restreinte des plaisirs de ce monde. Mais personne ne doit pour autant passer le troisième quart de sa vie eu sein de la famille. Il faut alors reprendre les austérités pratiquées lors de la vie célibataire, et ainsi trancher ses attaches à la vie de famille. Puis, une fois dégagé de ces liens matériels, on doit pénétrer dans la quatrième phase de l’existence, et accepter la vie de renonçant (renoncement totale à toute vie familiale et sociale dans le but de maîtriser parfaitement les sens et le mental, et de s’engager pleinement dans le service de Dieu, de Krishna).

En tant qu’Âme Suprême de tous les êtres, sis en leur cœur, J’observe chacun de leurs actes à chaque étape de leur vie. Quel que soit la classe sociale où il se situe, celui que Je vois remplir avec sérieux et sincérité les devoirs désignés par son maître spirituel, et dédier ainsi son existence à le servir, celui-là me devient infiniment cher. Quant à l’étudiant célibataire, si l’on peut s’y fixer sous les directives du maître spirituel, c’est une excellente chose. Mais si ce dernier ressent l’appel de la chair, il doit prendre congé de son maître spirituel après l’avoir satisfait suivant ses nobles désirs. La coutume védique veut qu’un présent soit alors offert au maître spirituel. Le disciple adoptera ensuite la vie de famille, et prendra une épouse selon les rites religieux.

Mieux vaut s’acquitter de son propre devoir, fût-ce de manière imparfaite, que d’assumer celui d’un autre, même pour l’accomplir parfaitement. Par l’accomplissement des devoirs prescrits, que sa nature assigne à chacun, on n’encourt jamais le péché.

(Vouloir jouir des fruits de nos actes nous contraint aussi à accepter les conséquences qui en résultent).

Tu as le droit de remplir les devoirs qui t’échoient, mais pas de jouir du fruit de tes actes. Jamais ne crois être la cause des suites de l’action, et à aucun moment ne cherche à fuir ton devoir.

Le Seigneur Krishna contrôle la chaleur, la pluie et la sécheresse.

Je contrôle la chaleur, la pluie et la sécheresse. Je suis l’immortalité, de même que la mort personnifiée. L’être et le non-être, tous deux sont en Moi. Ceux qui m’adorent avec dévotion, méditant sur ma forme absolue, je comble leurs manques et préserve ce qu’ils possèdent.

Celui qui commet une offense envers une grande âme, un être saint, aura à en souffrir, et qui blasphème Dieu sera puni sévèrement.

Les envieux et les malfaisants, les derniers des hommes, Je les plonge dans l’océan de l’existence matérielle sous diverses formes de la vie démoniaque. Ceux-là, en renaissant vie après vie au sein des espèces démoniaques, ne peuvent jamais m’approcher. Peu à peu, ils sombrent dans la condition la plus abominable.

Les mudhas (personne stupide et scélérate, dépourvue d’une véritable intelligence, et n’ayant d’autre but dans l’existence que de satisfaire ses sens), les scélérats, blasphèment le Seigneur Suprême parce qu’Il apparaît sous les traits d’un homme ordinaire. Ils ne savent rien de sa grandeur infinie.

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